Spirit_of_05

Cela s'appelle : aggraver son cas.

Se servir d'un chien (même de 25 kg) comme surmatelas, c'est étrange.😁

Retour de l'appli mobile après être allé dans la voiture.

Je suis dans le même cas, mais sans message, depuis ce matin. Impossible de joindre la voiture. Je suis dans le 05. (on pourrait s'en douter)

Bonjour, Sachant qu'un moteur thermique a un rendement, au mieux de 40%, le reste est dissipé en chaleur et n'intervient pas dans la traction. En conséquence, quand on lui demande un surcroit de puissance, seuls ces 40% sont impactés. Sur un VE le rendement de 90% environ fait que l'ensemble (ou presque) est impacté et implique une augmentation directe de la consommation. Raisonnement simpliste, mais qui me semble-t-il doit approcher de la vérité. S'il y a de vrais cadors en thermodynamique, c'est le moment de le montrer ! 😔

Tout à fait d'accord, il faut éviter de consommer, mais,même si la pente est forte, le passage de virages en épingles oblige à un fort ralentissement (sans toucher au frein), mais avec obligation de relancer. (cas avec récupération mode "standard"). L'utilisation de la récupération en mode "bas" permettrait une meilleure relance mais nécessiterait de solliciter la pédale de frein. Alors le choix est difficile. J'ai préféré le mode "standard" qui m'est plus agréable car mieux maîtrisé.

Bonjour, Mon intervention concerne les prévisions de consommation par le logiciel de navigation de la voiture. C'est prévisions sont le plus souvent exactes ou même pessimistes. Cependant il est des cas particuliers, pour les personnes habitant en montagne. J'ai constaté à de nombreuses reprises que les prévisions dans la montée sont le plus souvent précises. En revanche, pour la descente les prévisions sont parfois très optimistes quant à la récupération d'énergie. Exemple : dimanche parcours Gap (740m) vers parking du col Agnel (2620m) dans le Queyras. (91 % à 58%). La descente me promettait 55% à 53 %, or à l'arrivée, j'avais 45%. Je précise que je circulais en freinage de récupération "normal" ce qui n'est peut-être pas la meilleure configuration mais la plus agréable en montagne. Disons que ce cas est peut-être extrême mais cela est courant, en moins pénalisant, surtout si les routes étroites, sinueuses demandent de relancer fréquemment. Vos expériences personnelles ?

Je dirais plutôt :"on regarde à gauche et à droite, ..."

Pour tout dire je n'en ai pas souvent l'usage et cela soulage mes petits bras fluets ... (et vieux, très vieux ...) 😔

Bonjour, La difficulté, si on ne dispose pas d'un pont pour se positionner sous la voiture, est de bien enfoncer l'attelage pour l'encliqueter. J'avais résolu le problème en utilisant un cric pour pousser l'attelage.

Je dirais même mieux : ne pas attendre du tout ! 😀

Pas du tout, 20 minutes c'est pour la rédaction de tout le journal. Le temps de collecter les informations sur internet.😄

Pour un pneu de 235/45-18" je n'ai trouvé que 42 psi ou 2.9kg/cm² que ce soit dans le manuel ou sur l'intérieur de la portière avant. Pression à froid qui va naturellement augmenter avec l'échauffement du pneu. VP/T = Cte (le volume du pneu étant constant, c'est la pression qui augmente quand la température croît. T en Kelvin.)

Bonjour, les pressions préconisées découlent d'essais effectuées avec les manufacturiers du pneumatique. Il faut déterminer la pression avec des essais sur pistes en étudiant les réactions de la voiture dans de multiples conditions (Pression, mais aussi niveau de charge, températures, type de revêtement, état de la chaussée,...) La pression ne dépend pas uniquement de la masse mais aussi des dimensions du pneu (cf: pneus galettes ---> pression très élevée.), des réactions du chassis, des suspensions, etc. Il faut que la surface au sol des pneus soit suffisante (adhérence à sec) mais pas trop importante (aquaplaning, déformation ---> échauffement). En gros pour une M3 de masse 1800 kg ---> 450 kg/pneu soit si gonflage à 3kg/cm² (approx. 1 bar= 1 kg/cm²) soit ~ 15 cm² de surface au sol (en statique)

Bonjour, Les pressions préconisées par les constructeurs doivent être respectées plutôt comme des valeurs minimales. Contrairement à ce qui a été dit , on ne choisit pas la pression qui convient, mais celle préconisée. On peu l'augmenter légèrement de 0,2 à 0,3 bars, après cela peut devenir inconfortable. Si la pression est trop faible, il y a déformation au niveau des flanc et de la bande de roulement se traduisant par une résistance accrue au roulement et un échauffement pouvant conduire à la destruction du pneu. (pour un fort sous-gonflage) ou à un déjantage et perte totale de pression, mais là il faut vraiment être très sous gonflé. Donc 2.9 à 3.2 bars, à froid, c'est correct