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Jeanmanu

La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?

Message ajouté par Fly,

Ce n'est pas la première fois que ce sujet est suspendu temporairement, en raison de dérapages dans les mots employés les uns envers les autres ou de comportements non acceptables sur un forum public.

Merci de rester cordial dans les échanges, sans quoi nous serons contraint de définitivement fermer le topic.

FLY

Messages recommandés

@futur  Vous n'apportez aucune réflexion, vous ne faites pas un débat d'opinion construites.

On dirait une AI de X-Grok...🤷‍♂️ Vous me prêtez encore des sous-entendu totalement interprétatifs (j'ai toujours dit qu'il fallait relancer la filière nucléaire). La question "à quel coût" est toujours pertinente malgré vos attaques ad hominem.

Mais le plus important : arrêtez les attaques répétées à mon égard ! En effet, je vous ai déjà demandé d'arrêter ces attaques d'anti- je ne sais quoi. Et vous ne respectez pas cela. Ce harcèlement, ça suffit maintenant !!

Modifié par cornam

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Le 07/02/2025 à 10:56, cornam a dit :

@futur Tu pourrais arrêter les attaques gratuites à mon égard ? Je n'ai pas fait de sous-entendu et j'ai toujours dit qu'il fallait relancer la filière nucléaire. Donc tes attaques d'extrémistes anti-ça suffit maintenant !!

Tu n'apportes aucune réflexion. On dirait une AI de X-Grok...🤷‍♂️

 

Aucune attaque personnelle de ma part, mais je ne suis absolument pas dupe, pour autant,  de la façon de procéder de certains opposants au nuke, avec les " fausses questions " afin de sous entendre, les réponses qu'ils souhaiteraient  obtenir .

IL ne faut pas jouer les persécutés, car tu ne l'es en aucun cas,  mais assumer ses idées, et ne pas se plaindre ensuite quand d'autres mettent exergue ce cheminement " intellectuel " .

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Le 07/02/2025 à 10:51, futur a dit :

Heureusement que nos prédecesseurs n'ont pas écoutés certains, les anti nukes "masqués", qui distillent leurs soit disant " interrogations pernicieuses", sur les surcoûts, les problèmes de mise en oeuvre initiale des premiers exemplaires etc etc ... ( en clair et sous entendu: ne vaudrait-il pas mieux tout arrêter etc etc ...

NOUS, on a pu 50 ans avant d'autres, produire un maximum d'électricité décarbonée, et rembourser les prêts nécessaires à la mise en oeuvre de ce programme, EN FRANCE, y compris avec  les énormes et inévitables surcoûts initiaux, comme c'est systématiquement le cas de tous les gros projets industriels,  dont les opposants officiels ou masqués (...), se gargarisent !

 

Le 07/02/2025 à 11:04, futur a dit :

Aucune attaque personnelle de ma part, mais je ne suis absolument pas dupe, pour autant,  de la façon de procéder de certains opposants au nuke, avec les " fausses questions " afin de sous entendre, les réponses qu'ils souhaiteraient  obtenir .

IL ne faut pas jouer les persécutés, car tu ne l'es en aucun cas,  mais assumer ses idées, et ne pas se plaindre ensuite quand d'autres mettent exergue ce cheminement " intellectuel " .

Au vu du post de @cornam, ta réponse est curieuse car totalement décalée par rapport au post. 

Pour éviter les digression et les montée de sang, ca serait bien de lire ce que les gens écrivent plutôt que d'interpréter des sens cachés

Modifié par Thierry.P

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Le 07/02/2025 à 14:01, rv45 a dit :

L’avenir est-il encore au future réacteur EPR-vibrant?

 

https://www.revolution-energetique.com/epr-de-flamanville-quels-sont-ces-problemes-de-vibration-qui-entachent-le-demarrage-du-reacteur/
 

les romans des EPR va être aussi imposant que la série de Victor Hugo les Rougon-Macquart!

Au fait, pour ton information, il serait bon, avant de " t'enthousiamer" pour ce contretemps de savoir que les 2 centrales analogues Chinoises, tournent, ELLES à plein régime ...

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Le 07/02/2025 à 14:16, Thierry.P a dit :

Au vu du post de @cornam, ta réponse est curieuse car totalement décalée par rapport au post. 

Pour éviter les digression et les montée de sang, ca serait bien de lire ce que les gens écrivent plutôt que d'interpréter des sens cachés

J'ai parfaitement lu ce qui est écrit, et cela se trouve dans la même " veine" que d'habitude,  d'un certains nombres d'intervenants (lire l'ensemble des déclarations de certains auteurs est pourtant significatif ...), SE PRETENDANT  pourtant non anti nuke, mais EN REALITE, sont au contraire en opposition claire sur le sujet, et  " feignant" de s'interroger sur la prétendue viabilité , ou de "soucis techniques" etc etc ......

On a quand même le droit de leur répondre qu'on n'est pas dupe de ce jeu  !!!! sans se faire qualifier d'insultant ou de hors sujet , je pense.

Maintenant, si tu estimes qu'il ne faut pas relever, la "tonalité" de ces interventions, TOUTES dans le même sens, libre à toi en temps que modérateur !!!

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Le 07/02/2025 à 14:34, futur a dit :

J'ai parfaitement lu ce qui est écrit, et cela se trouve dans la même " veine" que d'habitude,  d'un certains nombres d'intervenants (lire l'ensemble des déclarations de certains auteurs est pourtant significatif ...), SE PRETENDANT  pourtant non anti nuke, mais EN REALITE, sont au contraire en opposition claire sur le sujet, et  " feignant" de s'interroger sur la prétendue viabilité , ou de "soucis techniques" etc etc ......

On a quand même le droit de leur répondre qu'on n'est pas dupe de ce jeu  !!!! sans se faire qualifier d'insultant ou de hors sujet , je pense.

Maintenant, si tu estimes qu'il ne faut pas relever, la "tonalité" de ces interventions, TOUTES dans le même sens, libre à toi en temps que modérateur !!!

explique l'anti nuke sur ce message:

Citation

Flamanvile-3 n'était qu'à 25% de puissance et a des soucis de vibration qui semblent provenir d'une motopompe primaire (2x la valeur attendue) qui empêchent de dire si le réacteur pourra un jour atteindre sa pleine puissance (Aïe ! pas rassurant). On espère qu'une solution sera trouvée pour résoudre ça. 

Bref l'article tout frais de révolution énergétique c'est par là 

https://www.revolution-energetique.com/epr-de-flamanville-quels-sont-ces-problemes-de-vibration-qui-entachent-le-demarrage-du-reacteur/  (article de Kevin Champeau et info de Blast!)

 

Et un autre article du même auteur discutant du rapport de la Cour des Comptes lié à la relance de la filière avec les 6 EPR2.

https://www.revolution-energetique.com/relance-du-nucleaire-doit-on-forcement-opter-pour-des-epr2/

Bon on garde toujours notre médaille d'or sur "l'explosion du budget" :)  pour un seul réacteur.

 

Bref la question reste posée et il faudra 20 ans pour avoir une réelle conclusion avec un peu de recul :P

 

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Le 07/02/2025 à 16:17, Thierry.P a dit :

explique l'anti nuke sur ce message:

C'est pourtant simple à comprendre: en clair, si on prend la citation " brut de fonderie", sans la contextualiser,  RIEN ne fonctionne normalement dans les chantiers nuke en cours...oubliant, comme par hasard, (...) de dire que les mêmes chantiers Chinois, continuent , EUX, et que déjà 2 centrales du même type sont bel et bien opérationnelles ...et pas à  25 % de puissance pour cause de vibrations !!! , ce qui aurait pourtant , si on a un minimum d'objectivité sur le sujet du nuke,  du être rappelé..., mais non, y'a visiblement que les constatations à charge,  qui intéressent certains, et surtout de ne pas ouvrir la focale siu l'ensemble ...de la fillière nuke, car cela désservirait manifestement leur point de vue ( réel quoi qu'ils s'en défendent) sur le sujet.

Modifié par futur

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IL me semble que ce qu'écrit cornam est factuel .

Et quand tu lis ça "On espère qu'une solution sera trouvée pour résoudre ça. ", je vois pas d'anti nuke. 

Mais soit, chacun a son opinion, et cataloguer les gens est bien réducteur. 

 

Tu ne peux pas juste avancer des arguments au lieu de sortir des ponciffs ?

"certains nombres d'intervenenats" " certains auteurs" 

 

Tu dis ne pas être dupe et "leur répondre". Mais tu ne réponds pas, désolé. Tu enfonces la boite à troll (je te laisse regarder la stratégie du troll sur le net); Je ne dis pas que tu en es un, mais, là, ben, tu n'es pas dans le dialogue

 

Et dans une discussion sur ce sujet, personne n'a raison à 100%, personne. 

 

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Le 07/02/2025 à 14:01, rv45 a dit :

L’avenir est-il encore au future réacteur EPR-vibrant?

 

https://www.revolution-energetique.com/epr-de-flamanville-quels-sont-ces-problemes-de-vibration-qui-entachent-le-demarrage-du-reacteur/
 

les romans des EPR va être aussi imposant que la série de Victor Hugo les Rougon-Macquart!

Ou alors Les Misérables d'Émile Zola ?

 

En tout cas à titre personnel je ne me renseigne pas sur les sites appartenant au groupe Brakson. Ils me semble assez orienté anti nucléaire et donc peu fiable 

 

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Le 08/02/2025 à 09:27, GaeJu a dit :

En tout cas à titre personnel je ne me renseigne pas sur les sites appartenant au groupe Brakson. Ils me semble assez orienté anti nucléaire et donc peu fiable

Bonjour. Je comprends ton opinion à propos du groupe Brakson. Mais du coup, je m'interroge sur ta venue sur le forum d'AP. Pour élargir, j'aime beaucoup la chaine YT de Monsieur Bidouille qui fait des vidéos très intéressantes sur l'électricité (en général) et aussi sur les centrales Nucléaires (sujet de ce fil). Je te recommande vivement cette chaine indépendante.

 

@rv45Oui j'avais lu cette info et lu d'autres liées à la même problématique sur d'autres médias. Je ne suis pas trop inquiet quand à la résolution du pb. Au pire on pourrait se dire qu'il vaut perdre encore du temps (et de l'argent) pour résoudre ce pb de vibrations avant d'atteindre les 100% de puissance. Je considère plus ça comme un exemple de l'extrême-complexité d'une centrale nucléaire moderne, qui pourrait être représentatif des surcouts subis par tous les projets moderne comme je le notais (a minima couts multipliés par 2/3). Ce qui est inquiétant sur les estimations prévues pour le projet EPR2 français. Mais il n'y pas que ça comme argent perdu / mal utilisé. Finalement notre administration serait aussi compliquée que de faire une nouvelle centrale ? [désolé pour le HS pessimiste] 😕

Modifié par cornam

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Le 06/02/2025 à 23:16, gilbert43 a dit :

Là dessus tu as 100% raison, je n'avais pas vraiment suivi le dossier, je plaide coupable. 
Du reste, ce n'est pas EDF qui a signé un accord avec Rosatom, mais GEAST (qui vient d'être racheté par EDF).
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-bulle-economique/sanctions-contre-la-russie-l-oubli-constant-et-discret-du-nucleaire-civil-9312813

Mais cette affaire est interessante:

L'etat Francais a vendu la branche energie d'Alstom a G.E en 2014 , aujourd'hui EDF rachete la division nucleaire pour 1,2 milliards (alors qu'elle a été vendue en 2014 588 millions), mais le control command reste américain et donc soumis à une licence d'exportation américaine (procédure ITAR). 
En prime,  EDF qui n'a jamais été un industriel se retrouve fabricant de turbines qu'il doit essayer de vendre à ses...concurrents. 

Selon toi c'est la faute d'EDF? 

 

Cette rumeur date de 2021, depuis, les 2 reacteurs de Taishan et celui d'Olkilioto récemment fonctionnent à pleine puissance sans aucun souci...

 

Tu as parfaitement compris mon propos. 
Tu tentes de faire croire qu'EDF et un ilôt indépendant qui contrôle l'etat. Dans les faits, c'est l'exact inverse. 

EDF n'a structurellement aucun compte a rendre aux électeurs, les responsables politiques si.

 

On peut faire un rappel rapide sur l'affaire Alstom (et ses turbines), qui est le fournisseur historique des réacteurs d'EDF.

Les américains, qui ne sont pas les derniers pour les coups tordus (quelle que soit l'administration), ont semble-t-il trouvé un moyen de pression pour forcer une vente à GE. Ils avaient un moyen de pression parce que, il faut le dire clairement, avec des pays comme la Russie, la Malaisie, la Tunisie, l'Egypte ou la Hongrie comme partenaires commerciaux, forcément de l'argent circule sous la table.

S'ensuit la saga de la vente puis du rachat très compliqué par la guerre en Ukraine.

Mais le partenariat avec la Russie ne date pas de là, il est très ancien (et la corruption qui va avec est très ancienne aussi). En bref, EDF est dépendante de la Russie, pas seulement pour les réacteurs, et c'est un problème qu'on ne peut pas complètement ignorer, ou minimiser en disant que c'est "indirect" parce que "autre société".

Plus généralement j'ai du mal à comprendre ton acharnement à défendre EDF contre tous les autres membres de la nucléocratie française (Areva, Alstom, l'Etat, etc). Tu as des actions ? Tu travailles pour eux ? Ou ta famille ?

Bien sûr que tout n'est pas "de la faute d'EDF", et même chez EDF il faut faire le tri des responsabilités. Mais la relation Etat-EDF n'est pas à sens unique, les relations de pouvoir vont dans les deux sens. A un moment les "politiques", qui ne sont pas des experts techniques, doivent faire confiance à l'entreprise qui dirige les chantiers nucléaire et qui doit assumer sa part de responsabilité, qui n'est pas zéro. C'est tout ce que je dis.

A propos, des rumeurs d'une réévaluation du chantier du "nouveau nucléaire" à 100 milliards circulent, suite au rapport rendu secrètement par EDF fin 2024, quelqu'un a entendu ça aussi ?

 

PS: par contre les problèmes de cuve de Taishan ne sont pas des "rumeurs" mais des problèmes réels reconnus tout à fait officiellement, avec un correctif devant être validé aussi à Flamanville. Comme il s'agit d'un problème d'usure prématurée, un réacteur à 100% maintenant ne veut pas dire que le problème est 100% traité pour les 40 années qui viennent.

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Au rythme ou évolue les technologies pour la production d'électricité décartonnée, on peut légitimement se demander où elles en seront dans 15/20 ans. Si c'est bien ce chiffre de 100 milliards pour 6 futurs EPR2 soit 8GW de production nucléaire à base d'EPR "2", il faudra bien comparer, au fil des dépenses, ce budget avec les autres moyens renouvelables. 

En quelques secondes j'ai trouvé Les Échos (écolo-bobo-machin-bidule comme dirait @ManuTaden^^) à 67 milliards : https://investir.lesechos.fr/marches-indices/economie-politique/nucleaire-la-france-loin-detre-prete-pour-dautres-epr-alerte-la-cour-des-comptes-2142290

ou Le Figaro à 80 milliards : https://www.lefigaro.fr/societes/epr-de-flamanville-une-facture-colossale-de-23-7-milliards-d-euros-selon-la-cour-des-comptes-20250114

Et on arriverait (selon Patrick Cotrel) aux 100 milliards évoqués (cf l'article de Ouest France du 15 janvier) [à prendre avec grosses pincettes de rigueur pour cette source ]:

https://patrickcotrel.com/La-Cour-des-Comptes-met-en-garde-sur-le-cout-des-EPR 

 

Maintenant qu'on a arrêté (+/-) le coût global de Flamanville-3, as-tu une estimation plus précise (par la Cour des comptes ou autre ?) du prix du MWh qui va en sortir pour les 40 ans à venir (bien sûr en intégrant les couts d'entretien ... qui excluront naturellement les couts imprévisibles type "grand carénage") ?

J'ai trouvé 93€/MWh (rapidement) : https://www.alternatives-economiques.fr/alain-grandjean/linquietante-derive-couts-nouveau-nucleaire/00113743

Et Flamanville-3 ne sera rentable qu'à partir de 138€/MWh 😱 https://www.ouest-france.fr/environnement/ecologie/transition-ecologique/entre-nucleaire-et-energies-vertes-la-hache-de-guerre-est-deterree-b7938ad8-d7dd-11ef-84d8-cc906b107ef4

 

https://www.vaielettrico.it/francia-nucleare-corte-conti-macron/

Citation

 

Résultat : pour que Flamanville reste financièrement à flot, il sera inévitable de recourir aux subventions publiques. D'où l'intervention de la Cour des comptes – la dernière d'une longue série – pour demander que les nouveaux projets nucléaires soient suspendus avant d'avoir une plus grande visibilité sur les délais et les coûts.

 

Estimation/calcul "sur un coin de nappe" :

Les futures éoliennes off shore atteignent les 70€/MWh ; ça commence à être difficile pour le futur nucléaire de se justifier avec un écart qui va du simple au double ! Sachant que RTE donne pour un mix 100% EnR sans sortie précipitée du nucléaire un surcout à +15%... 

Bref même avec un surcout doublé à +30% pour un mix M23 très "éoliennes", comparé à x2 pour les centrales par rapport aux futures éoliennes (mix ultra nucléarisé qui nécessitera aussi des adaptations du réseau car ces dernières ne sont pas uniquement dues aux EnR = il faudra de toute façon moderniser et évoluer pour la transition).

https://www.researchgate.net/figure/Levelized-Cost-Of-Energy-LCOE-for-new-offshore-wind-projects-in-the-European-Union_fig2_346441084

D'où l'avis rendu par la cour des comptes demandant de "retenir la décision finale d'investissement du programme EPR2". Sachant que le Sénat voulait forcer à 14 EPR2... Si la cour des comptes ne se trompe pas (c'est rarissime) faudrait peut-être l'écouter ? 🤷‍♂️Et finir les plans précis et "budgetisation précise" avant d''aller trop loin ?

 

Tout ça n'est pas très engageant ! 🥶

Modifié par cornam

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C’est effectivement pas engageant du tout,  et pire encore vu les bâtons dans les roues sur l’éolien. En faites on a encore tout faux.

Bon pendant ce temps là les ENR ont produit pour la première fois 148 TWh pour 27% de notre production. Cette production a été tirée essentiellement par le solaire. Les nouvelles capacités installée n’a été malheureusement que de 6 GW malgré tout encore un record même s’il est ridicule par rapport au bon sens! 
 

https://tecsol.blogs.com/mon_weblog/2025/02/la-production-délectricité-renouvelable-atteint-des-records-en-france-tirée-essentiellement-par-le-s.html?utm_source=feedblitz&utm_medium=FeedBlitzEmail&utm_content=193437&utm_campaign=Daily_2025-02-10_01:30:00

 

pour arriver vers les 50% il y a du chemin à faire.
Par ailleurs ce WE des français ont encore subit des coupures d’électricité. Il faut en plus travailler dir notre résilience, c’est un autre sujet tout aussi important que la production. On ne pourra jeter l’argent par les fenêtres longtemps , plus personnes ne voudra nous prêter de l’argent!

 

Et que faisons-nous pour réduire notre consommation de gaz le plus possible pour notre production électrique. Il n’y a pas d’autre solution rapide que les renouvelables. 

Modifié par rv45

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Le 10/02/2025 à 01:16, cornam a dit :

Maintenant qu'on a arrêté (+/-) le coût global de Flamanville-3, as-tu une estimation plus précise (par la Cour des comptes ou autre ?) du prix du MWh qui va en sortir pour les 40 ans à venir (bien sûr en intégrant les couts d'entretien ... qui excluront naturellement les couts imprévisibles type "grand carénage") ?

J'ai trouvé 93€/MWh (rapidement) : https://www.alternatives-economiques.fr/alain-grandjean/linquietante-derive-couts-nouveau-nucleaire/00113743

 

Et Flamanville-3 ne sera rentable qu'à partir de 138€/MWh 😱 https://www.ouest-france.fr/environnement/ecologie/transition-ecologique/entre-nucleaire-et-energies-vertes-la-hache-de-guerre-est-deterree-b7938ad8-d7dd-11ef-84d8-cc906b107ef4

 

https://www.vaielettrico.it/francia-nucleare-corte-conti-macron/

 

"Sur un coin de nappe", les futures éoliennes off shore atteignent les 70€/MWh ; ça commence à être difficile pour le futur nucléaire de se justifier avec un écart qui va du simple au double ! Sachant que RTE donne pour un mix 100% EnR sans sortie précipitée du nucléaire un surcout à +15%... 

Bref même avec un surcout doublé à +30% pour un mix M23 très "éoliennes", comparé à x2 pour les centrales par rapport aux futures éoliennes (mix ultra nucléarisé qui nécessitera aussi des adaptations du réseau car ces dernières ne sont pas uniquement dues aux EnR = il faudra de toute façon moderniser et évoluer pour la transition).

https://www.researchgate.net/figure/Levelized-Cost-Of-Energy-LCOE-for-new-offshore-wind-projects-in-the-European-Union_fig2_346441084

 

Tout ça n'est pas très engageant ! 🥶

C'est assez clair depuis un moment que Flamanville 3 sera difficilement rentable (mais on ne sait pas vu qu'on ne peut pas prédire le marché de l'énergie sur 60 ans), mais c'est un pilote. Et la comparaison avec le kWh éolien doit inclure le coût de l'intermittence, çàd de réserves de puissance en fonction de la météo.

Mais le gros sujet de préoccupation à court terme AMA c'est l'incapacité persistante d'EDF à maîtriser ses chantier. Passer d'une estimation de 47 milliards au moment de la prise de décision initiale à 67 puis 80 ou 100 avant d'avoir commencé les chantiers et même finalisé le dossier de conception, c'est vertigineux. Quelque chose ne va pas.

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Bien sûr j'ai conscience que F-3 est une centrale pilote. Pour le cout de l'intermittence j'en parlais et ça a été évalué à +15% par RTE pour le M23 (je me reporte souvent à cette évaluation qui a beaucoup de crédit due à son sérieux). Je pense que l'estimation des couts réalisée par la Cour des Comptes prend en compte certains imprévus quand à son budget total. Réajuster l'estimation de 50 à 80 milliards (+60%) c'est pour un projet titanesque plutôt bien maitrisé. Mais en effet on a vu les déboires passés et sa multiplication par 7 (+700%). qui n'est pas le même ordre de grandeur. Ferait-on bien trop confiance à ce que F-3 nous ait permis de résoudre quasiment tous les problèmes ?

 

On peut en douter comme tu dis, surtout que s'il y a variation dans les plans il faut se méfier si ces grosses variations vont induire plus de mauvaises surprises que résoudre les pb déjà rencontrés.

Globalement "le Public" en France (donc aussi les sociétés d'économie mixte) n'ont jamais été douées pour la maitrise du budget. C'est ainsi, et c'est dans notre "culture" de (non) maitrise des coûts. On peut critiquer le début des EnR mais les couts ont suivi la trajectoire opposée (maitrise et diminution).

 

[on va me critiquer pour mon anti-nuke, mais je suis persuadé qu'il faudra éteindre au maximum du maximum la vie de nos réacteurs actuels, et qu'on a les chercheurs, l'ingénirie et les connaissances pour le faire sans prise de risque avec le budget].

 

Le problème est de la pertinence de prévoir autant de futurs EPR2 alors que la décarbonation n'avance pas [on pourrait aider les logements à diminuer le bois/charbon/fioul/gaz avec de PAC car les installations de PAC en 2024 s'écroulent ! et les ventes de chaudière sà gaz remonté à +14% !! Merci la manque de souveraineté pour les 2 décennies à venir..(cf article ci dessous)]. 

En d'autres termes, de l'efficience de se lancer dans un trop gros projet et trop prématurément alors que notre déficit est chronique et pathologique, notre dette devient de plus en plus difficilement soutenable, 

Viser l'objectif minimum de 6 EPR2 pour donner le champ à la filière et au management d'EDF de prouver leur capacité serait largement suffisant (en gros le scénario  N1 de RTE).

Modifié par cornam

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Le 10/02/2025 à 10:47, cornam a dit :

on va me critiquer pour mon anti-nuke, mais je suis persuadé qu'il faudra éteindre au maximum du maximum la vie de nos réacteurs actuels, et qu'on a les chercheurs, l'ingénirie et les connaissances pour le faire sans prise de risque avec le budget].

Le problème est de l'utilité de mettre autant pour de futurs EPR2 alors que la décarbonation n'avance pas. En d'autres termes, de l'efficience de se lancer dans un trop gros projet et trop prématurément alors que notre déficit est chronique et pathologique, notre dette devient de plus en plus difficilement soutenable, 

Viser l'objectif minimum de 6 EPR2 pour donner le champ à la filière et au management d'EDF de prouver leur capacité serait largement suffisant (en gros le scénario  N1 de RTE).

cela s'appelle, tendre le bâton pour se faire battre , mais tu confirmes TOI MEME,  que tes " préconisations" sont bien anti nuke !!!

Quant au largement suffisant, si on veut réellement décarboner, et pas seulement le transport, il faudra bien ET un grand programme  Nuke, et la prolongation du parc existant pour permettre la " soudure " avec le futur, ET les ENR intermittentes .

J'observe que c'est précisément ce vers quoi s'oriente la Chine ...

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Climat : en France et en Europe, la grande panne de l’électrification

Préférer l’électricité aux énergies fossiles est considéré comme une étape indispensable pour atteindre les objectifs de décarbonation. Mais, pour l’instant, ce type de consommation n’augmente pas, ou à peine.

Citation

« Après l’âge du charbon et l’âge du pétrole, le monde entre rapidement dans l’âge de l’électricité. » Fin 2024, à l’occasion de la publication, en octobre, de l’édition 2024 du World Energy Outlook, le directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), Fatih Birol, annonce le début d’une nouvelle ère dans laquelle le système énergétique mondial sera dominé par l’électricité. L’électrification est l’une des briques essentielles des scénarios de décarbonation : pour espérer atteindre la neutralité carbone en 2050, les experts tablent sur une forte hausse de la demande d’électricité, liée notamment à une transformation des usages.

Abandonner les véhicules thermiques pour des voitures électriques, installer des pompes à chaleur à la place de chaudières au fioul et au gaz, investir dans des fours électriques dans l’industrie… Ces changements d’équipements doivent permettre de se débarrasser progressivement du charbon, du pétrole et du gaz, responsables du réchauffement. « Tous les scénarios crédibles vers le “zéro émission nette” impliquent une électrification croissante car l’électrification directe constitue l’alternative la plus efficace aux fossiles pour la plupart des usages », rappelle Chris Rosslowe, analyste au sein du think tank Ember.

Progrès en matière d’efficacité

Un problème apparaît pourtant : aujourd’hui, la demande électrique ne décolle ni en France ni en Europe. Une singularité, alors que, au niveau mondial, la consommation d’électricité a augmenté deux fois plus vite que la consommation totale d’énergie au cours des dernières années. Dans les pays européens, la part de l’électricité dans les systèmes énergétiques est stable, voire en baisse, depuis une quinzaine d’années, du fait notamment de progrès en matière d’efficacité. En France, par exemple, les deux tiers de l’énergie consommée sont toujours issus de combustibles fossiles importés. « La demande d’électricité n’a pas repris depuis la crise, principalement en raison de la faible consommation industrielle »,s’est ému en janvier le lobby européen Eurelectric.

 

En 2024, la consommation a tout de même crû de 1 % au sein de l’Union européenne (UE), mais elle reste largement inférieure au niveau de 2019. En France, selon les données de Réseau de transport d’électricité (RTE) publiées vendredi 7 février, la demande a augmenté de 0,7 % après une baisse marquée depuis 2022. « Nous sommes assez certains que la consommation a cessé de baisser, mais la légère hausse doit encore être consolidée, précise Thomas Veyrenc, membre du directoire et directeur général de l’économie et de la stratégie de RTE. Nous ne sommes pas encore entrés dans un régime d’électrification rapide. »

Une électrification rapide ? Selon RTE, respecter les engagements climatiques européens à l’horizon 2035 tout en réindustrialisant implique une hausse de la consommation de 10 à 15 térawattheures (TWh) par an, soit environ la production moyenne annuelle de deux réacteurs nucléaires. « Nos études ont toujours souligné que cette trajectoire était contre-tendancielle et représentait une vraie rupture, impérative pour se passer des énergies fossiles », rappelle M. Veyrenc. Pour la Commission européenne, la part de l’électricité doit atteindre 50 % en 2040, et 63 % en 2050, contre moins d’un quart aujourd’hui.

 

Prix élevé par rapport au gaz

L’électrification de l’Europe est-elle en panne ? Cela menace-t-il l’atteinte des objectifs climatiques ? Fin 2024, les analystes du cabinet de conseil McKinsey estimaient que la hausse de la consommation électrique attendue d’ici à 2030 pourrait être 40 % moins importante qu’anticipé. Parmi les obstacles à l’électrification figure, en bonne place, le prix élevé de l’électricité par rapport à celui du gaz. « Il faut rétablir une sorte de justice en faveur de l’électricité, moins carbonée et plus efficace, alors que le gaz reste plus compétitif », plaide Diana-Paula Gherasim, responsable des politiques européennes de l’énergie et du climat à l’Institut français des relations internationales.

Autre frein, les tergiversations politiques et un soutien public insuffisant. A Bruxelles, l’heure est avant tout à la « simplification » et aux tentatives de détricoter le pacte vert. La Commission, qui devrait publier en 2025 un « plan d’action de l’électrification », tiendra-t-elle bon sur les ambitions énergétiques et climatiques ? Le cas du véhicule électrique est particulièrement symptomatique. Alors que l’UE a adopté un objectif d’interdiction des ventes de véhicules thermiques neufs en 2035, cette cible est désormais contestée et sa mise en œuvre patine. En France, par exemple, le bonus écologique pour l’achat d’un véhicule propre est revu à la baisse.

 

« C’est aux Etats membres de prendre le relais de l’UE, mais le signal envoyé aux consommateurs est flou, regrette Phuc-Vinh Nguyen, responsable du centre énergie de l’Institut Jacques Delors. Or, pour qu’ils financent un achat, il faut un alignement des planètes. » Pour la première fois depuis 2020, la part des voitures électriques dans les ventes a baissé dans l’UE en 2024.

Même tendance pour les pompes à chaleur, avec une baisse de 35 % des volumes vendus. Les experts du cabinet BloombergNEF notent qu’en France, après une dizaine d’années de croissance, les dépenses dans ce secteur se sont contractées de 28 % en 2024 en raison des réformes de la principale subvention gouvernementale à l’achat, MaPrimeRénov’.

 

Contexte mouvementé

« Les arbitrages ne vont clairement pas dans le bon sens, confirme Nicolas Goldberg, associé chez Colombus Consulting (spécialisé dans la transformation responsable des organisations) et responsable énergie du cercle de réflexion Terra Nova. Il y a une campagne antipompes à chaleur ; sur la rénovation énergétique, personne ne comprend rien… Mais des dispositifs extrabudgétaires, comme les certificats d’économie d’énergie, peuvent aider. » « Un soutien public est indispensable, on ne peut pas s’attendre à ce que l’électrification arrive de soi », insiste Diana-Paula Gherasim.

Concernant l’industrie, en difficulté, le manque de visibilité et de capacités de financement pousse à l’attentisme. « Il faut faire de gros investissements initiaux pour réellement changer les technologies dans des entreprises produisant du verre, des matériaux… », explique Thomas Lewis, coordinateur de la politique énergétique du Réseau Action Climat Europe. En France, un nombre important de projets industriels ont demandé à se raccorder au réseau, mais combien vont se concrétiser ? Incertitudes politiques, conflits, élection de Donald Trump aux Etats-Unis, campagnes de désinformation… Chez RTE, où l’on étudiait jusqu’ici la possibilité d’un scénario « de mondialisation contrariée », on admet clairement qu’on est entré dans un scénario de transition énergétique « avec le vent de face ».

Dans ce contexte mouvementé, la hausse de la production d’électricité décarbonée est tout de même une tendance positive. En 2024, 95 % de la production d’électricité générée en France était bas carbone, un record, et la production issue du solaire a dépassé celle du charbon en Europe. « En 2022, on se demandait si on aurait assez d’électricité pour faire face à la crise énergétique, rappelle Diana-Paula Gherasim. Aujourd’hui, [en Europe] on a 70 % d’électricité bas carbone, c’est le moment pour pousser cette électrification. » « On a toutes les pièces du puzzle pour réussir à décarboner », insiste aussi Thomas Veyrenc chez RTE.

 

Miser sur la sobriété

Que se passera-t-il si la dynamique ne s’enclenche pas ? « Une croissance de la demande d’électricité plus faible que prévu pourrait avoir un impact significatif sur les coûts globaux du système et, à terme, sur la transition énergétique et sur la situation économique de l’Europe », estime-t-on au cabinet McKinsey. « Il est nécessaire de décarboner conjointement la demande et l’offre en énergie, écrit aussi EDF. Si un seul pan se décarbone, alors la stratégie de décarbonation échouera à baisser les émissions et induira des surcoûts et des tensions. » Si l’enjeu est évidemment climatique, il est aussi économique et stratégique, les pays européens restant dépendants d’autres Etats pour leurs importations fossiles.

 

Un décalage persistant entre l’offre et la demande pourrait aussi donner du grain à moudre aux opposants aux énergies renouvelables pour appeler à freiner leur développement, même si l’exportation d’électricité est bénéfique pour le climat et pour la balance commerciale.

Certains acteurs mettent en revanche en garde contre le fait de vouloir faire bondir la consommation d’électricité à tout prix, en perdant de vue que l’objectif est bien que cette électricité se substitue aux fossiles. Ils rappellent l’importance de maîtriser la demande globale, pour les usages existants tout comme pour les nouveaux usages (climatisation, data centers…) en misant avant tout sur la sobriété. « Les difficultés de l’industrie automobile européenne sont symptomatiques du fait que l’électrification ne s’accompagne pas d’un changement de modèle, regrette par exemple Yves Marignac, expert énergie au sein de l’association négaWatt. Les constructeurs continuent à essayer de vendre des véhicules lourds et haut de gamme à un public qui n’en a pas les moyens. »

et 

Citation

Une voie tracée, mais déjà semée d’embûches : les ventes de ces appareils alimentés par les énergies fossiles ont augmenté de 14 % en 2024 dans le pays (431 500 à gaz et 13 500 au fioul, au total), par rapport à l’année précédente, selon les données publiées jeudi 6 février par Uniclima, l’organisation des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques. La réglementation environnementale RE2020 autorise encore l’installation des chauffages tournant exclusivement au gaz – hormis, depuis 2022, dans les logements individuels neufs, et depuis 2025, dans les logements collectifs neufs. A l’inverse, l’interdiction d’installer des unités au fioul concerne déjà tous les types d’habitations depuis 2022 – sauf en cas d’impossibilité technique à trouver une autre solution.

D’après Uniclima, ce rebond des ventes n’est que provisoire, d’ordre « conjoncturel ». Il s’expliquerait notamment par une « possible reconstitution des stocks » chez les distributeurs et par le repli des cours du gaz par rapport au pic de 2022 – même si ces cours sont plus élevés qu’avant la crise des prix. 

dérogations à la RE2020 pour le collectif neuf....inadmissible 😢

Modifié par cornam

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@futurVous m'avez démasqué, j'ai toujours été un espion de Greenpeace qui avance masqué (tel un justicier ?) pour détruire notre nucléaire français. Du coup, je vous propose d'en installer un chez vous https://enron.com/pages/the-egg

#Bref, la faiblesse de vos arguments sur la maitrise des coûts dessert la défense de la filière.

https://www.youtube.com/watch?v=HXTTdjaJ7JQ

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Voici le rapport en direct, je ne lis pas les médias de rv45

 

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/73276

 

2 recommandations très simples et logiques à la fin :

 

Citation
1. Retenir la décision finale d’investis- sement du programme EPR2 jusqu’à la sécurisation de son financement et l’avancement des études de conception détaillée conforme à la trajectoire visée pour le jalon du premier béton nucléaire (EDF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, ministère de la transition écologique, de l’énergie du climat et de la prévention des risques, 2024).
 
2. S’assurer, que tout nouveau projet international dans le domaine du nucléaire soit générateur de gains chiffrés et ne retarde pas le calendrier du programme EPR2 en France (EDF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, 2024)

 

Modifié par GaeJu

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Le 08/02/2025 à 12:38, cornam a dit :

Bonjour. Je comprends ton opinion à propos du groupe Brakson. Mais du coup, je m'interroge sur ta venue sur le forum d'AP. Pour élargir, j'aime beaucoup la chaine YT de Monsieur Bidouille qui fait des vidéos très intéressantes sur l'électricité (en général) et aussi sur les centrales Nucléaires (sujet de ce fil). Je te recommande vivement cette chaine indépendante.

Un forum est un forum, ses participants sont indépendants (enfin ... normalement)

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Merci pour le rapport@GaeJu

Dans cette synthèse, je retiens les points suivants (pour ceux qui ne voudraient pas la lire bien qu'elle soit concise) :

1) La rentabilité prévisionnelle du programme EPR2 reste, à ce stade, inconnue, d’autant que les conditions de financement de ce programme ne sont toujours pas arrêtées.

2) Les surcoûts de construction et les incertitudes sur la rentabilité des EPR font peser un risque sur l’actionnaire (= l’Etat).

3) La Cour préconise donc de ne pas approuver une décision finale d’investissement d’EDF dans Sizewell C avant l’obtention d’une réduction significative de son exposition financière dans Hinkey Point C.

4) Visant à renforcer le portage du nouveau programme nucléaire, la réorganisation interne d’EDF est effective depuis avril 2024, bien que non totalement finalisée. Elle envisage une clarification des responsabilités entre maîtrise d’œuvre (MOE) et maîtrise d’ouvrage (MOA) d’une part, et entre la MOE et l’ingénierie mais également la supply chain d’autre part.

Modifié par cornam

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Pour ceux qui auraient raté l'info, DAS Solar, va s'installer dans des anciens locaux de Faurecia dans le Doubs, afin d'avoir une usine locale de fabrication de panneaux solaires.

Article de l'Usine Nouvelle ICI

Investissement à 109 millions €  - 580 emplois immédiatement - à terme usine quii devrait produire 5 millions de panneaux par an

les sous traitants sont prévus à proximité de l'usine, parce qu'il s'agit de d'une vrai production de la transformation du silicium jusqu'à l'assemblage du panneau, verre inclus

à terme : 2500 emplois directs et 3500 indirects, et 250 000 m2 de bâtiments.

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Petite vidéo de C dans l'air

 

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