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La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Certes, ne pas avoir une position de pouvoir est un handicap pour faire changer les choses... Reste alors notamment les 2 leviers "activables" les plus simples: - changer ce qui peut l'être dans sa propre vie (le plus difficile en réalité puisque comme vous l'avez si bien rappelé, l'effort se traduit bien souvent alors dans les mêmes proportions par un coût financier... ) - user de son bulletin de vote dans l'urne pour aller dans le sens de "l'intérêt général", car si le "cadre" évolue pour répartir plus justement les efforts, alors les perspectives de réussite s'améliorent pour tout le monde, soi compris! Tout le travail du GIEC se cristallise dans l'ambition de donner à tout le monde les clés de compréhension de ce qui se passe afin de laisser à tout un chacun le temps de réagir... A défaut d'avoir contribué à dépioter quelques une des 60.000 parutions scientifiques qui ont constitué l'assise des rapport du GIEC, il est bon qu'on n'hésite pas à Informer ou rappeler l'urgence, lorsque l'occasion s'y prête, à ceux qui l'auraient raté ou pas compris afin notamment d'aller un peu plus loin et qu'ils puissent justement prendre la juste mesure des choses... la convention citoyenne pour le climat a montré à quel point "la connaissance" pouvait être porteuse de changement ! Les plus "méritants" au sens où nous serions les seuls à faire des efforts pour réduire notre impact... ce qui est en réalité faux. j'en prends note. c'est plein de bon sens et je vous suis là dessus. J'ai de gros doutes aujourd'hui sur le fait que ce qui motive réellement la décision politique soit foncièrement distinct des intérêts purement économiques... ça me semble justement un problème. La relation "commerciale" impose un cadre précis fondé sur le "gain" respectif... on peut aimer son travail, mais on doit en vivre... on peut être prêt à consentir à des efforts, mais à minima sans se ruiner... Je ne suis pas étonné dans ses conditions que le "pognon" reste au coeur des bilans énergie. -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
En l'occurrence, c'est à la partie des populations "qui a saisi l'enjeu" de faire pression sur les politiques... attendre que les autres se réveillent n'est plus une option. Le sucre est un très bon exemple du fait que si l'on n'oblige pas les industriels a le retirer de leurs produits, on continuera effectivement à en consommer "à foison". Il y a finalement moins de comportement individuel là-dedans que le résultat, en terme d'addiction d'une population, d'une avidité économique notoire des acteurs de l'agro-alimentaire.. Tout ne relève pas du libre-arbitre, c'est un peu pour cela que l'être humain s'est fixé des limites, des règles édictées socialement pour empêcher les "excès"... typiquement, la règle "tu ne tueras point" est "globalement" respectée jusqu'ici par exemple, comme en témoigne le nombre croissant d'individus sur la planète (et la bonne humeur inconsciente de mon voisin qui a bien de la chance que je m'astreigne à respecter cette règle malgré l'envie de l'étrangler qui m'envahit parfois ;-)), ce qui n'empêche pas les exceptions bien entendu... fussent elles nombreuses, elles ne l'ont pas été suffisamment en tous cas pour nous empêcher de "croître et multiplier"! En réalité, le "on" semble bien mal adapté à la situation: - pour beaucoup sur la planète, ça va déjà très mal: si nombre d'entre eux s'en sont déjà aperçu, d'autres, moins impactés, en sont tout aussi conscients! - l'équilibre vacillant, à partir du moment où il est obtenu en poussant "sciemment" les autres pour s'empêcher de tomber soi-même, n'apparait pas comme "inconscient"... Car enfin, considérant l'accessibilité de l'information aujourd'hui, tout le monde a clairement entendu les avertissements, vu les dégâts de cette aventure et donc le caractère "volontairement" nuisible dans ses conséquences de "certains" (plus adapté que le "on") dont l'obstination qui confine au "déni" criminel (quelqu'en fut l'origine) ne peut plus être qualifié "d'aveuglement"... A chacun sa croix et si nous avons déjà ici fort à faire avec nos propres politiques, on en trouvera ailleurs pour mener le même combat en usant de moyens similaires mais au prix de sacrifices encore plus couteux... Se considérer comme les plus méritants n'aide pas à faire avancer la lutte contre le réchauffement climatique .... (https://www.elle.fr/Societe/News/Howey-Ou-l-activiste-ecolo-qui-defie-la-Chine-3927440#:~:text=On l'appelle déjà la,son combat pour la planète. https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/camille-passe-au-vert/camille-passe-au-vert-du-lundi-08-avril-2024-5488584) "On" sera bien en peine de faire la leçon aux autres après avoir piller les ressources partout sur la planète... Malheureusement, le fait d'être "atteint" ne protège pas des "pulsions d'autodestruction" de certains! Ainsi en Espagne notamment, si beaucoup des sinistrés ont compris la "Root-cause" de l'événement catastrophique qui les toucha il y a peu et dont ils peinent encore à se relever, appellant de leur voeux un changement de nos modes de vie, d'autres aspirent à trouver "un responsable" et à reprendre "comme si de rien était" et l'explication est loin d'être uniquement psychologique: le propre d'un système c'est de tenter d'activer tous les mécanismes dont il dispose pour retourner à son état optimal de fonctionnement (ici, ce sont des mécanismes notamment psycho-sociaux parfois de stigmatisation qui sont a l'œuvre)! A Mayotte, département français, on sait déjà qu'il n'en sera pas autrement : ainsi, alors que beaucoup ont tout perdu, avec un bilan humain probablement apocalyptique après le passage d'un cyclone dévastateur qui marque les effets du réchauffement planétaire, on en trouvera pour considérer que le "problème urgent à régler", ce sont ceux, les plus fragiles, qui tentent de survivre après le chaos dans une indifférence quasi ahurissante... Mais une fois qu'on a dit ça? Car enfin, Nous, les êtres humains, "sensibles" de surcroit, connaissons la complexité du monde que nous avons bâti d'autant plus que nous l'appréhendons concrètement au jour le jour. Ainsi, nous avons inventé des modes de vie différents, les mathématiques, plus globalement les sciences, la philosophie, la religion... l'économie... Comment pourrait-on dès lors croire que réduire notre relation au monde au "pognon" ne serait pas une énorme erreur ? En l'espèce, ne serait ce pas la pire d'ailleurs compte tenus des "choix" cornéliens face à un destin inéluctablement fatal que cette vision pseudo-rationnelle de nos congénères nous imposerait? C'est d'autant plus absurde qu'il n'y a dans cette approche aucune "malédiction divine", aucune soumission à une force de la nature ou à une loi de la physique ... juste des gens "convaincus" que ce qui a pourtant été créé par les Hommes (comme une relation perverse à "l'argent"), ces êtres au combien fragiles par nature, s'avère indépassable! Quelle ironie lorsqu'on connaît la longue Histoire de notre espèce... ce qu'elle a déjà fait... comme ce qu'elle a déjà défait... -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
On peut effectivement ne pas s'en émouvoir et considérer que la lutte pour conserver une planète vivable pour les générations futures n'est pas un impératif... Pour ma part, je ne considère pas que ne pas tenir ses objectifs ne prête pas à commentaire puisque cela engage à un impact bien plus conséquent que simplement le fait de s'y tenir ou non! A ce titre, que d'autres pays ne fassent rien n'excuse en rien celui qui n'a pas fait... Aux populations de rappeler qu'elles ont parfaitement saisi l'enjeu. Non, c'est loin d'être une question annexe car ce sont les moyens qui vont conditionner la fin: la lutte climatique est un enjeu mondial et a ce titre, il vaut mieux investir dans les énergies susceptibles de NOUS profiter autant qu'elles peuvent profiter à TOUS en participant à les rendre plus "mûres" plutôt que de nourrir une filière qui est déjà en bout de course et qui n'intéresse que les pays "riches"! Oui, il y a des raisons... Il manque cruellement 6000 milliards de dollars pour leur développement parce que et j'en citerai à minima 2 : 1. on ne se passe pas des énergies fossiles comme ça, ce sont les énergie les moins chères et les plus polyvalentes en ce bas monde, 2. On disperse l'effort en France du moins au lieu de le concentrer sur les seules énergies en mesure un jour de les concurrencer PARTOUT sur la planète... C'est exactement ce qu'il faut éviter de faire .. attendre... il faut planifier pour éviter que les pans de notre système économique et social s'effondrent totalement au prix de souffrances extrêmes de la population. absolument, tout est une question de volonté politique.... Oui... le pognon... celui qu'on emportera tous dans la tombe? Ah ben non, c'est vrai... Celui-là la ne nous servira pas à grand chose là où l'on va.... je rappelle qu'un billet ne se mange pas et ne se boit pas or ce qui nous prend au nez ce sont bien des pénuries en cascades et la rupture des chaînes d'approvisionnement les plus basiques du fait d'un habitat devenu invivable. Mais bon, c'est pas comme si on n'était pas déjà prévenus. -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Tout n'étant qu'une question de budget, on a déjà pu remarquer que la France n'avait pas tenu ses objectifs initiaux en matière de renouvelables... Avec un budget partagé entre nucléaire et EnRs, dans un contexte qui implique le financement d'un "grand carénage", la construction de nouveaux EPRs, le tout avec une urgence à réagir pour contenir à l'échelle mondiale nos émissions de GES... quelle chance avons nous COLLECTIVEMENT de développer les secondes à la hauteur attendue pour se donner une chance de réussir à impacter notoirement cette transition énergétique vers le bas carbone et l'abandon des fossiles pour les activités les plus "carbonées" ? Les 3 degrés s'annoncent.... -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
La conclusion que j'en tire de mon côté c'est plutôt de modifier la gouvernance de l'énergie pour y introduire plus de démocratie... plutot que de déréglementer: en effet, la dérèglementation est synonyme d'abus de toute sorte moins en faveur des citoyens que des intérêts particuliers suffisamment puissants pour s'imposer à tous! Les exemples sont pléthores dans tous les domaines et dans tous les pays qui disposent d'une réglementation aussi fine que la tranche d'une feuille de papier... Là où la règlementation disparaît, c'est la loi des multinationales qui s'applique... -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Eh bien, 28% des ménages "souscripteurs" ont pu bénéficier "d'aides" publics pour pouvoir s'équiper en materiels "solaires"... ce qui laisse penser que pour l'heure, seuls les ménages susceptibles de financer par eux-mêmes leurs installations en France "poussent" reellement, d'ailleurs fortement ces derniers temps puisque convaincus par les "économies" à long terme qu'ils pourraient en tirer, le développement de cette énergie renouvelable (ce qui explique l'âge moyen avancé des "clients")...' C'est déjà bien, mais quid de tous les autres? Sans le soutien financier de l'Etat (direct ou indirect à travers la latitude budgétaire offerte aux "territoires") et sans une approche cohérente de la gestion des communs (qui est le contraire d'une dérégulation sauvage du secteur mais plutôt une vision plus démocratique de la gouvernance et des interactions entre réglementeurs, usagers et énergéticiens au sens large), on peut s'attendre à atteindre les limites de l'autoconsommation "individuelle" solaire (au sens large) relativement rapidement (compte tenues des inégalités latentes en France). Or, l'autoconsommation "collective", autre ressort de croissance du secteur "solaire", ne peut se développer sans le volontarisme de l'Etat... De même que faire émerger une filière "solaire" française "forte" et plus efficace à créer de la valeur sociétale que de la valeur actionnariale, ne se fera pas sans lui non plus! C'est du moins ce qu'on peut déduire de la situation actuelle à mon sens! -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Un des problème à continuer sur la construction de centrales nucléaires, fusse d'en construire moins, c'est le délai de livraison... ça implique une "immobilisation" des capitaux sur une durée trop importante compte tenue de l'urgence à électrifier les activités "indispensables" les plus émettrices de GES dans nos sociétés... et donc à la nécessité impérieuse de mobiliser des investissements massifs pour développer rapidement de nouvelles filières d'énergies renouvelables comme vous le faites remarquer. Sachant qu'un effort très important supplémentaire en terme de budget devra être produit en parallèle pour rendre la société plus "sobre" en énergie autant qu'en ressources, beaucoup plus qu'elle ne l'est aujourd'hui du moins, c. à d. un effort pour atténuer la "demande" globale notamment en: - transformant l'outil de production (toutes les chaînes d'approvisionnement sont à revoir de "bout en bout" pour coller à cet objectif), - favorisant cette mutation en développant de nouvelles filières (pour développer des nouveaux types d'activités ancrés sur le territoire plus "sobres" en ressources et matériaux), - créant des mécanismes sociaux visant à conforter les efforts que tout un chacun doit produire en lissant le plus possible les inégalités sociales pour permettre de passer d'une économie basée sur la "croissance" à celle basée sur un "équilibre" dynamique entre préservation des moyens de substitances et satisfaction des besoins (cette vision a "l'équilibre" se décline sous le vocable de "décroissance" fort mal choisie puisque le contraire de la croissance, c'est la récession - il s'agit donc de passer a un nouveau système économique... rien que ça !). Bref, dans un contexte où l'effort économique à produire va être plus que conséquent, on va inéluctablement avoir besoin d'un maximum de ressources utiles ! D'autant qu'il y a un bénéfice non négligeable à attendre au niveau collectif sur les énergies renouvelables considérant que celles ci profitent a "tous" et par conséquent, tout euro qui y sera investi aura nécessairement un retour plus important que dans le nucléaire puisque cela participera à rendre les technologies plus "matures" dans un temps nettement plus court! Du moins, si les États n'hésitent pas à faire de l'investissement public le fer de lance de ce chantier "pharaonique"... car ce sont eux qui sont capables de produire la poussée initiale pour "mettre ce projet sur orbite"! C'est un peu mal engagé actuellement mais j'aspire a voir l'indicateur majeur des 6000 milliards de dollars à investir à minima se réduire d'ici l'échéance de 2030... (soupir d'inquiétude) J'avoue que pour ma part, si l'on peut conserver les centrales nucléaires tant que l'ASN nous dit que ça tourne correctement alors banco! On ne fermera pas un réacteur pour faire plaisir à quiconque! Cependant, je ne suis pas pour investir sur un grand carénage ou de nouveaux EPRs tout simplement parce qu'on ne peut pas atteindre un seuil d'efficacité suffisant dans le nucléaire ou les EnRs en investissant simultanement dans les deux (en divisant le budget en deux donc... car on sait déjà que c'est ce qui va se passer !) Car réduire l'empreinte carbone de la France ou de l'Europe, ne suffira pas à nous faire échapper à l'enfer d'une augmentation de 3 degrés de la moyenne des températures sur la planète (les émissions planétaires elles ne font qu'augmenter jusque maintenant), il faut contribuer activement à faire baisser notre impact global à l'échelle de tous les pays engagés dans cet effort. Or, le socle commun de travail avec eux, ce sont les Énergies Renouvelables! Suivant cette même logique, on peut aussi conserver un niveau d'investissement en R&D public sur le nucléaire pour conserver des options une fois l'urgence dépassée, mais moins important qu'aujourd'hui, possiblement à hauteur des 200 millions d'euros consacrés à la fusion dans la dernière enveloppe. Mais il faut alimenter en "fonds" sonnants et trebuchants: - cette même recherche... "fondamentale"... qui peut nous ouvrir de nouvelles perspectives sur une vision de long terme (ce qu'elle a toujours fait d'ailleurs), - la recherche sur les énergies renouvelables et les moyens de stockage, sur une perspective a plus court terme, car atténuer l'intermittence (à défaut de la faire disparaitre...) relève d'une urgence absolue! Et ici, les fonds doivent être massifs !!! Car si le "foisonnement" permettra certainement quelques progrès, mieux vaut lui adjoindre de nouvelles capacités (peut être liées aux vents de tres hautes altitudes, ou à l'énergie marémotrice, ou à de nouveaux "vecteurs" d'énergie, etc...). -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
la perspective "systémique" rebat inéluctablement les cartes... quand on prend un peu de hauteur, on se rend vite compte qu'avec le nucléaire, il s'agit moins d'un débat purement technique que d'un débat plus ouvert à la société tout entière... -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
C'est clownesque! 😁 J'adore l'humour "absurde"! De la même manière que "l'amélioration de l'efficacité des procédés de production a ralenti la tendance de la dégradation du TRE" des fossiles, avec même des effets conjoncturels qui l'ont amélioré temporairement parfois (et selon le mode de calcul du TRE des fossiles, ces derniers pour une même énergie varient du simple au double - je vous avais mis un exemple mais je l'ai effacé parce que finalement je pense en fait qu'il serait mieux que vous produisiez l'effort d'aller vous-meme vous renseigner - c'est cadeau), tout porte à croire que les systèmes énergétiques sont soumis aux mêmes contraintes génériques de la même manière... Globalement, le vainqueur de la lutte entre "progrès technique" et "épuisement physique" des ressources (au sens large) est déjà connu (https://ecoinfo.cnrs.fr/2014/03/11/1-epuisement-des-ressources-naturelles/) ... une thèse sur le lien entre EROIE des systèmes énergétiques et croissance économique produite par Victor Court conforte cette idée (https://theses.fr/2016PA100109). Lorsqu'on commence a exploiter une ressource énergétique, on attaque généralement par la ressource la + facilement accessible (gisements affleurant pour le pétrole par exemple, couloirs de vents "constants" pour l'éolien, etc... ) les taux de retour énergétique sont alors plutôt bon. Mais au fur et à mesure, on exploite des sites de moins bonnes qualités, quelque soit l'énergie, avec une baisse du TRE en retour... Pour autant l'étude que je cite fait apparaître que : 1. les systèmes énergétiques pre-industriels avaient un TRE entre 10 et 20, 2. les énergies fossiles "conventionnelles" conservent pour l'heure des TRE plus élevés à méthode de calcul constante en comparaison des EnRs, 3. les fossiles "non conventionnelles" en plein essor et les EnRs ont des TRE relativement similaires... Ce dernier point permet de rester positif sur les chances de réussite de la transition énergétique. D'autre part, les marges de travail en terme de recherche et développement sont probablement à trouver dans la recherche sur la "complexité", car c'est elle qui est très génératrice de carbone et plus généralement d'impacts environnementaux... Typiquement, c'est en partie à cause de cela (et de l'absence de dimension éthique et responsable) que la "low-tech" a émergé en s'opposant par son nom même, à la "high-tech". Quoiqu'il en soit, il serait impératif de ne conserver la complexité : 1. que là où elle est indispensable, 2. uniquement sur les process les moins émetteurs. Aujourd'hui, la recherche & développement privilégie l'efficacité sur la sobriété... ce qui alimente les craintes sur les pénuries à venir (sachant que nous en avons déjà connus par exemple sur les semi-conducteurs). Si le pétrole n'était pas émetteur de GES, je vous confirme que les EnRs ne se développeraient que lorsqu'il se serait "épuisé"! 😁 Et si ma tante en avait, ce serait mon oncle... 😂 quelle sincérité dans les excuses! Les bras m'en tombent! bon... on va s'arrêter là. Demain vous en serez a réfuter les conventions (non.. on n'écrit pas "=" mais "égale"! Tout est faux!) Les posts étant disponibles pour tout un chacun, j'engage les plus courageux a les relire. Vos assertions n'ont littéralement plus aucun sens ! 😁😂 je vous laisserai relire de quoi on parle... oh et et puis non. Bien mal m'aura pris de vous encourager... Faites attention ! vous commencez presque à faire une concession!!! La maladie vous guette! 😂 Oh ben ça alors ! une conclusion sur laquelle on est d'accord! Serait ce que vous soyez dans l'erreur pour en arriver là? 😂 je vous le souhaite en tout cas, que ce soit volontaire, parce qu'il n'y a pas de médicament contre ça... malheureusement... oui oui... le soleil "donne" comme dit Laurent Voulzy! C'est une énergie très "abondante" qui n'est pas perdue pour tout le monde... Hier j'ai presque bronzé! Heureusement que vous venez de lever un lièvre! Je commençais à me demander pourquoi, on s'obstinait à dire que le pétrole était une énergie "abondante" (je comprends du coup les guillemets) alors qu'il n'a jamais et ne rivalisera jamais avec celle que prodigue le soleil, depuis bien avant sa création jusque bien plus tard sa disparition! Oh mais j'y pense... ne serait ce pas tout bonnement parce que derrière le mot "abondante" se cache tout simplement celui "d'accessible"!!!! Typiquement, ce n'est pas parce qu'un "trésor" est à portée de main, qu'il est "accessible" ! Pour vous en convaincre, je vous incite à faire une expérience : allez au Louvre, postez vous devant la Joconde (à quelques misérables mètres seulement) et puis... tentez de repartir avec ! On verra si c'est si simple! 😂 Récupérez un peu de bon sens et ne tordez pas celui qu'on donne aux mots juste pour essayer d'avoir raison! 😂 cette nouvelle assertion finit de me convaincre que vous n'avez même pas lu la démonstration toute minuscule qu'elle fut ! irréfutable ! 😂 la théorie des baguettes entrera dans les annales a n'en pas douter! Pourquoi se faire chxxxx avec l'équation de Kaya? vous oubliez le prix de la farine, de la préparation (la "nordique" vaut plus chère que la "paysanne"!) voire même le prestige du boulanger, plus-value qualitative par excellence! Vous voyez comme effectivement tout peut devenir compliqué en fonction de l'interlocuteur a qui vous vous adressez pour faire votre démonstration... je vous dis ça, c'est du vécu 😂! C'est l'acceptabilité en terme de résultats sur les émissions carbone attendues... pfffff.... Le dire ne suffit pas (prouvez le autrement qu'avec le concours de la séduisante théorie "des baguettes"... ma démonstration, celle que vous n'avez pas compris s'appuyant sur l'équation de Kaya quant à elle démontre que le contraire de votre affirmation gratuite sur la conservation des mêmes émissions carbone en passant a une énergie avec un TRE moins séduisant comme celui des EnRs, est tout a fait possible- elles baissent sensiblement dans l'hypothèse d'une sobriété appliquée).. la croyance dans l'inéluctabilité de la "croissance" ou de la surpuissance de l'innovation technologique en vient à faire dire à certains que décidément non, notre système économique ne peut pas changer comme s'il s'agissait d'une loi de la nature (ce qui justifie par la même pour les plus réactionnaires les inégalités iniques en ce bas monde)! Allant même jusqu'à admettre que quand bien même nous baisserions notre production, il faudrait tellement + d'EnRs que leurs impacts environnementaux ne changeraient rien aux actuelles et que donc, on pourrait s'en tenir à exploiter les fossiles de manière plus performante (vous pourriez tirer votre raisonnement jusque là après tout... au point où l'on en est!l. Il y a un intérêt certain a démontrer que c'est bien là "décroissance" apanage d'une société "sobre" et "résiliente" qui peut aboutir au succès en matière de décarbonation et de conservation de nos moyens de subsistance! Merci donc a Kaya! Et qui plus est, que c'est tout à fait compatible avec l'utilisation des énergies renouvelables quand bien même elles auraient un plus mauvais TRE que les fossiles ! Allez finito de mon côté... j'ai assez ri comme ça (soupir!) -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
j'en suis resté au document de l'Ademe de fin 2022... il est possible qu'il soit caduque. Maintenant, si vous avez une autre source je suis aussi preneur. Vous prêchez un convaincu... je roule en électrique. Maintenant, pour ma part, je suis persuadé que continuer a fabriquer les VE comme les thermiques est une erreur. Le modèle industriel de la Gazelle m'apparaît sensiblement plus vertueux que les gigafactories pour rapprocher l'offre au plus près du besoin... après la voiture en elle-même ne m'apparaît pas assez polyvalente et mériterait autant une chirurgie esthétique qu'une nouveau cahier des charges mais clairement, il faut arrêter de fabriquer des "tanks". Jusque là je suis d'accord avec vous. Et bien l'électrification fait partie des solutions de décarbonation... c'est probablement même à l'heure actuelle la piste principale pour y arriver. Reste effectivement à faire en sorte de "tirer" tout le monde vers une énergie de "bas-carbone"... a ce titre, je me désespère des 6000 milliards de dollars manquant à mettre sur la table d'ici 2030. Dans mon cas, le fait de pouvoir disposer de 2,4kwh en sortie de la voiture pour alimenter mon Habitation m'apparaît comme intéressant: la consommation récurrente de mon foyer, hors four électrique, machine à laver et lave-vaisselle (ou équipement spécifique) culmine autours de 600wh... Mon v2l, a condition de bien isoler le réseau de la maison du réseau électrique conventionnel (couper le disjoncteur suffit) peut donc parfaitement assurer notre confort pendant le temps d'une grosse coupure électrique (alimentation de la chaudière : ok - alimentation de la chaîne froid : ok - alimentation équipement de communication : ok - alimentation électrique des prises et lumières : ok, etc...). Nous avons déjà eu a subir au pire consécutivement une soirée, nuit jusqu'en milieu de matinée sans électricité... Et pour beaucoup qui ont eu a subir des tempêtes, c'est un +! j'en conviens. la multiplication des "fonctions" participe en effet a la réduction globale de son empreinte carbone... typiquement, pendant un moment, je pensais à acheter un groupe électrogène. Je n'y pense plus du tout... Espérons qu'on modifie rapidement la manière dont on fabrique les voitures... -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
C'est qui "on"? juste les français? La question de pouvoir "fermer" le robinet des énergies fossiles se pose à l'échelle planétaire comme vous l'avez si bien rappelé vous même ! Dès lors, tout euro investi dans des solutions "communément" partagées, les EnRs participants pour 30% de l'électricité mondiale, on peut considérer qu'elles le soient, est potentiellement générateur de + de profit en la matière que le nucléaire, beaucoup moins répandu et participant de beaucoup moins à la production d'électricité mondiale,... C'est pourquoi il faut éviter de se concentrer sur un aspect du problème pour préférer tenter de l'aborder de manière systémique car on en vient sinon à tirer des conclusions erronées: c'est la fable indienne sur l'éléphant et les sages aveugles : celui qui toucha les oreilles de la bête décida que l'éléphant, c'était comme un éventail ! Vous concentrer sur le TRE vous fait oublier par exemple le problème de "l'effet rebond" ou son illustration avec le postulat de Khazzoom et Brookes qui précise que tout gain énergétique disparait inévitablement dans l'augmentation de la production de "bidules" qu'il permet (quitte à continuer l'épuisement des ressources matérielles en parallèle ou l'épuisement de nos moyens de subsistance à travers un rythme d'exploitation bien supérieur aux capacités naturelles de renouvellement)! La recherche du meilleur TRE et de l'efficacité énergétique, si on les place en premier, devant par exemple la nécessité qu'une énergie soit accessible à tous, ou les exigences en terme de sobriété, vient paradoxalement, par ricochet bien involontaire, ralentir la transformation d'une société humaine qui doit en réalité, par delà ses différences culturelles, extraire, produire et consommer beaucoup moins en plus de devoir décarboner son énergie... à l'échelle de la planète! Le TRE d'une énergie (lié au processus de production de l'énergie), n'est pas celui de l'efficacité énergétique du moteur électrique qui va l'utiliser... ce dernier a un meilleur rendement qu'un moteur thermique. Mais c'est au global, comme vous l'avez fait remarquer vous même avec l'exemple de la péniche et des effets de bords du tourisme par exemple qu'il faut regarder si la voiture électrique (qui prend en compte + que le TRE de l'énergie pour la faire rouler, celui qui a servi à extraire et transformer les ressources pour la fabriquer... potentiellement pas la même énergie d'ailleurs) a un effet bénéfique au regard de l'enjeu qui est de baisser nos émissions carbone puisque c'est bien cela qu'il faut rechercher au final ! La dernière étude de l'Ademe tend à conforter cette idée, et ce même si le VE a été fabriqué à l'étranger, du moins à partir du moment où la batterie n'excède pas une capacité située autours de 60kwh... "Sur l’ensemble de sa durée de vie, une voiture électrique roulant en France a un impact carbone 2 à 3 fois inférieur à celui d’un modèle similaire thermique, à condition que sa batterie soit de capacité raisonnable (< 60 kWh)" Source:https://presse.ademe.fr/2022/10/mondial-de-lautomobile-lademe-publie-son-avis-sur-le-vehicule-electrique-une-batterie-de-taille-raisonnable-assure-une-pertinence-climatique-et-economique.html -
La fin du nucléaire, on y est enfin dans 10 ans! 2024?
[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Il n'y a aucun soucis : Dans l'équation de Kaya, il y a une variable qui la relie au TRE : c'est l'énergie!!! Car à considérer que nous évoquons là l'énergie "totale" utilisée par la société, alors celle-ci inclue inéluctablement l'énergie "grise", c. à d. toute celle qui a servi aux phases successives de transformation pour arriver à l'énergie "finale" consommée pour fabriquer les "bidules"! Or, le TRE, c'est un moyen de chiffrer cette dépense inhérente à l'énergie elle-même à savoir l'énergie "grise"... Les deux sont donc reliés de façon évidente sans avoir à le démontrer plus avant! je dis que les TRE se dégradent de facto avec le temps, au fur et à mesure soit de l'épuisement de la ressource (il faut par exemple creuser plus profond ou utiliser des technologies de + en + complexes pour des énergies fossiles), et/ou soit de l'utilisation de ressources matérielles qui elles-mêmes s'épuisent (matériaux "critiques" par exemple pour les EnRs). C'est donc moins quelque chose de volontaire que de subit (on ne s'oriente pas, on fait avec). Pour préciser enfin, on ne change pas d'énergie parce que son TRE se dégrade, typiquement c'est en fonction de la marge qu'il reste avant de devoir dépenser 1 d'énergie pour recevoir 1 d'énergie, et le rapport de cette marge de dégradation restante en terme de "coût" avec les energies concurrentes qu'une substitution sera envisageable "économiquement"... "Vos" additions, celles que vous posez ne prouvent rien en effet par rapport au propos de ma démonstration puisqu'elles n'ont rien à voir... s'inscrivant manifestement dans la description d'une dégradation "linéaire" du TRE dans le temps, avec une énergie "grise" qui augmenterait, réduisant la valeur de l'énergie "finale" qu'elle a contribué à fournir, alors que l'énergie "totale" utilisée resterait identique.... Ce ne sont Clairement pas celles que je pose, puisqu'il s'agit de comparer le résultat en terme de CO2 de la dépense de 2 énergies avec un TRE différent à un instant "T" à production de "bidules" EGALE par la société par rapport à une situation de référence... Si on se concentre spécialement sur l'énergie, on obtiendrait : Énergie A = Énergie "grise" + Énergie "finale" = 4 (par exemple pour un mauvais TRE) Énergie B = 3 (pour un bon TRE). L'énergie A "totale" utilisée n'est donc pas égale à l'énergie B... ce que par contre vous sous entendez quant à vous dans la traduction de vos égalités toujours équivalente à "10" pour "énergie dépensée pour la produire + énergie consommée pour produire un bien = énergie totale émettrice de CO2 dans l'atmosphère"... il y a donc un décalage entre l'addition "lettrée" que vous rapportez et ses traductions "chiffrées" manifestement (volontairement ?) biaisées ! Devant cet imbroglio dont je ne suis pas persuadé qu'il ne soit pas un peu volontaire, vue votre envie de contester le raisonnement quitte à ne pas hésiter à le faire de manière explicitement tronquée, je me vois obligé de tenter de "débrouiller" les différents points que vous abordez : 1. l'évolution du TRE dans le temps... a. Le TRE du pétrole par exemple, puisque j'ai déjà pris cet exemple, se dégrade depuis l'origine de son exploitation, b. sa consommation n'a pourtant fait qu'augmenter, c. les gains énergétiques générés par l'efficacité des procédés de production ayant en général été réinvesti dans une augmentation de la production elle même, ils n'ont fait que ralentir, et certainement pas inverser, un peu la consommation d'énergie "grise" (cf. définition donnée précédemment). Le TRE se dégrade donc avec le temps... mais dans la démonstration que j'avais faite, ce n'était pas le sujet... 2. Les GES de l'énergie et le TRE... Au total, avec une énergie disposant d'un TRE moins interessant, nous avons donc une énergie dépensée pour transformer l'énergie primaire en énergie utilisable par la société (énergie "grise") qui augmente... avec autant de GES supplémentaires... et qui viennent s'ajouter aux émissions de GES produites par la consommation de l'énergie finale par la société : GES énergie "grise" + GES énergie "finale" = GES énergie "totale" (celle de l'équation de Kaya). Pour autant, on n'a toujours pas évoqué ici l'intensité carbone de cette énergie ! Et quand bien même on dépenserait + d'énergie, si celle-ci s'avérait "bas-carbone", ses émissions carbone vis à vis de celles d'une énergie avec un meilleur TRE mais "ultra carbonée" , seraient potentiellement moins élevées! C'est le cas des EnRs qui pour autant qu'ils utilisent des énergies fossiles dans leur processus initiaux de production, en émettent de fait beaucoup moins dans leur utilisation ! 3. Explication des termes de l'équation de démonstration... Dans mon raisonnement, je vous ai expliqué que j'allais gommer toutes les "dynamiques" comme l'augmentation de la production liée à la recherche de "croissance", ou l'évolution pour une même énergie de son TRE, etc... pour simplifier l'équation sur la base simplement d'une variation du TRE... et donc de l'énergie "grise" dépensée... A L'INSTANT "T"...par 2 TYPES D'ÉNERGIES DIFFERENTES : a. Une énergie "abondante" = avec un fort TRE = pas beaucoup d'énergie "grise" consommée = valeur basse de la variable "Énergie" dans l'équation de Kaya. b. Une énergie moins abondante = avec un plus faible TRE = + d'énergie "grise" dépensée = valeur élevée de la variable "Énergie" dans l'équation de Kaya. afin de vérifier l'hypothèse de savoir si dans une société "sobre" (valeur basse de la variable PIB dans l'équation de Kaya) , qui fabrique moins de "bidules", avec donc un PIB en baisse associé à moins de ressources exploitées, transformées et consommées, le seuil d'acceptabilité d'une énergie avec un moins bon TRE augmentait : c'est à dire est ce que malgré une baisse de la production avec + d'énergie dépensée, les émissions de GES baissaient RÉELLEMENT... Si vous reprenez l'équation déjà exposée, dans laquelle j'ai pris soin de partir avec des valeurs chiffrées marquant une égalité parfaite ENTRE les termes de l'équation, vous constaterez que Théoriquement c'est bien le cas ! -
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[email protected] a répondu à un sujet de Jeanmanu dans Production et stockage électrique
Quelqu'un de très avisé a dit il n'y a pas si longtemps : "Baisser localement les émissions c'est très bien, mais il ne faut pas oublier que c'est la planète entière qui est à prendre en compte." Remarque ô combien pertinente aussi pour signifier qu'à choisir de dépenser des fonds dans des énergies "bas-carbone" il vaut mieux les mettre dans le développement de celles qui sont le plus à même de nous faire atteindre rapidement l'objectif de baisser les émissions GLOBALES planétaires: les énergies renouvelables puisqu'elles participent déjà de produire 30% de l'électricité mondiale! -
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Y'a aussi des verbes, des noms, des déterminants, etc... le tout dans un ordre précis. De fait, si vous en avez bien compris la lecture, la variation du TRE a été simulée dans l'équation de KAYA par la variation du paramètre "énergie" : + d'énergie dépensée, c'est potentiellement une énergie qui n'a pas un bon TRE... énergie dépensée pour la produire + énergie consommée pour produire un bien = énergie totale émettrice de CO2 dans l'atmosphère... Vous remettez ce raisonnement en question? Maintenant, ici ce n'est pas l'intensité carbone de l'énergie finale qui était pointée (CO2/énergie)... Mais la quantité d'énergie dépensée au total en rapport avec la production (grossièrement rapportée au PIB). -
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pour décarboner ? le reste est de second ordre? commentaire nul et non avenu... exactement... certainement pas le niveau de vie que vous évoquez donc! les conclusions ont donc toutes leur importance. POINT! bis repetita... le niveau de vie donc .. a priori, VOTRE équation n'est donc pas celle de Kaya.... non ça c'est une projection formalisée par un organisme dont c'est le metier.... si vous voulez en savoir +, reculez de 10 pages.... ça vous fera faire quelques efforts... si vous n'êtes pas disposé à le faire, alors contentez vous en! on s'en bat les cacahouètes des dîners en ville... quant à votre "conclusion", on sent qu'elle s'appuie sur une formidable expertise! Jancovici n'a qu'à se rhabiller ! Yoichi Kaya aussi d'ailleurs! Au point où on en est!