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Bretagne

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  1. Pour moins tirer sur la batterie en hiver : mettre en position recyclage en interne. 9a chauffe beaucoup mieux, ça consomme moins.
  2. Voici ce que je disais : L'innovation. Je n'ai rien contre. Mais l'innovation n'est pas une valeur en soi. J'ajouterai qu'il y a une énorme différence entre innovation et recherche. L'innovation utilise les résultats de la recherche, or, par essence, la recherche ne sait pas ce qu'elle va découvrir. Là se pose la question de l'éthique. Transférer illico des résultats de recherche dans un processus d'innovation, c'est court-circuiter le "quel serait le bon usage de cette découverte". Hiroshima ? Le mauvais usage d'une innovation peut amener à la catastrophe, c'est ce que je souhaitais dire. J'aurai aussi pü écrire : "Pesticides ?" ou "Filets pour les grands fonds marins ?" J'aime bien "prisme étriqué", on approche de "l'attaque ad hominem". Bonne fin de semaine Bretagne breton
  3. Ah , le point Godwin ! "Hiroshima ?" dans mon texte, en quoi cela frise le point Godwin ? En quoi donner l'exemple d'une innovation qui est mal employée est-ce frôler le point Goldwin ? relis bien mes textes et leurs interrogations. Wikipédia Le point de Godwin peut être introduit par des sophismes consistant à extrapoler excessivement les implications du point de vue adverse (raisonnement de la pente savonneuse) ou à prêter à l'interlocuteur des intentions qu'il n'a pas (sophisme de l'épouvantail).
  4. Bonsoir Mokette, optimiser le rangement de mon placard. Pourquoi ne pas dire j'ai rangé mon placard ? Qu'ajoute optimisé ? Oui, discussions passionnantes, et donc elles demandent du temps. Du temps pour valider le sens partagé d'une expression, et cela dans un contexte. Comment un sentiment, une opinion individuelle se tranforme en valeur ? Comment ainsi transformées des valeurs individuelles deviennent elles collectives avec les ajustements dûs à la démarche collective ? Et alors comment l'individu les accepte-t-il ? L'innovation. Je n'ai rien contre. Mais l'innovation n'est pas une valeur en soi. J'ajouterai qu'il y a une énorme différence entre innovation et recherche. L'innovation utilise les résultats de la recherche, or, par essence, la recherche ne sait pas ce qu'elle va découvrir. Là se pose la question de l'éthique. Transférer illico des résultats de recherche dans un processus d'innovation, c'est court-circuiter le "quel serait le bon usage de cette découverte". Hiroshima ? Si on ne s'entend pas sur le fait que la recherche peut être source de découvertes, et que selon leurs usages celles-ci deviennent utiles à l'humanité ou juste à certains, si on ne s'entend pas sur le fait qu'une avancée sociétale est dûe autant à la philosophie qu'à la technologie, on n'en a pas fini ;-)) Bretagne
  5. Bonjour, Certes les mots n'appartiennent qu'à eux mêmes. Optimiser par exemple. Je ne disais pas que c'est un mot, une notion uniquement capitaliste, je disais "pour l'heure". Selon les époques et les corpus linguistiques des métiers, des classes sociales... certains mots se trouvent parés "de l'idéologie" du groupe d'utilisateurs. Je suis donc d'accord avec ta réponse, Ce que j'essayais maladroitement de mettre en avant c'est que en deça de l'usage d'un mot, il y a la définition que l'on en donne, et que cette définition se fait en accord avec les valeurs d'un groupe, le voisin n'aura pas la même, pourtant il aura le même mot. D'où dans mes autres fils l'importance du "pourquoi ?" Donc comment discuter des valeurs ? Sont elles individuelles, collectives....
  6. Heureusement que la réflexion ne date pas d'hier. Mais qu'en a t on fait ? Dans ta réponse il y a beaucoup de termes qu'il faudrait définir : innovation, cela peut s'appliquer de manières totalement différentes. Optimiser, terme appartenant pour l'heure au capitalisme et à la gestion des ressources humaines. Croissance et décroissance, de quoi ? en regard de quels critères ? Est-ce une croissance lorsque la pauvreté augmente ? Comment mettre en rapport dialectique des termes de mesure avec des valeurs d'éthique ? Biblio Pour ma part j'apprécie le regard d'Hélène Tordjman : la croissance verte contre la nature ou le très bien écrit texte de Sandrine Rousseau : par delà l'androcène, ou d'autre de F Lordon ou Manuel Cervera Marzal. A suivre Bretagne
  7. Bonsoir, Je suis d'accord, ou presque, un homme ou une femme quelle importance ? Oui mais. L'histoire de l'émancipation des femmes ne coïncide pas exactement avec celle des hommes (euphémisme). Ceci dit, une dernière étude mentionne en ce qui concerne la conduite : les hommes, au bout de sept ans de conduite se font leur idée du code de la route, se font le leur. Pour les femmes ce n'est pas le cas. Il est difficile d'imaginer qu'une telle liberté que s'octroient les hommes soit sans influence sur le vecteur voiture, le discours qui le définit. Question compétence : aucune mise en cause de la compétence d'écriture d'un journaliste de ma part, par contre ce qui sous-tend cette écriture peut être discuté (h ou f) au regard des valeurs qui sont derrière. A suivre Bretagne.
  8. Poursuivons, Le fatalisme, la notion, vient du fait religieux. Instrument d'esclavage de la pensée. Le fatalisme est donc, rapporté à aujourd'hui, effectivement un constat d'échec. Et je suis d'accord ce n'est pas une norme. Comment faire ? J'ai un côté Zététicien, donc poser systématiquement la question "pourquoi ?" et confronter la ou les réponses aux sciences (quelles soient dures, ou molles) aide à savoir où se trouvent les résistances, aide à répartir les causes du "c'est comme ça" et à les combattre sur leur terrain, et non pas celui de la doxia. Il serait possible de détailler un combat politique, mais sur ce forum cela me semble un peu "à côté". Par contre, poser quelques interrogations (c'était mon idée première lorsque j'ai créé ce sujet) est une première forme pour dire : "à travers mon mode de pensée et ce qu'il engendre, il me semble que, et j'interroge" . Libre ensuite à chacun d'accueillir une pensée + ou - différente de la sienne et d'en faire ce qu'il veut. En fait derrière cela, ce que j'interroge ce n'est pas "ce que l'on pense", mais bien "comment on le pense". Bretagne
  9. Effectivement, le moyen est déplorable. Et si on poursuit ton raisonnement, laissons nous dicter par ceux qui ont "les moyens" de définir ce qui est bien pour tous. "Mais si le résultat est là, tant mieux". Peut on se satisfaire d'une stratégie du doute ? Le risque est donc de ne jamais passer à "autre chose" alors que cela est essentiel, et ce depuis rené Dumont.
  10. Re Bonjour, Il va falloir m'expliquer ce qu'est le fatalisme si ce n'est considérer que l'ordre ambient "c'est comme ça, et on n'y peut rien".
  11. J'ajoute que mon biais (dans le sujet de départ) "l'électrique serait un truc de mecs....." est bien sous la forme interrogative, suite au constat de l'absence de journalistes femmes. J'ajoute que cette absence (sauf erreur de ma part) ne fait pas l'objet de commentaires allant dans le sens de "on aimerait bien..." sur l'ensemble du site. Bretagne
  12. Bonjour, Tout à fait exact, je n'avais pas cherché à faire un biais, mais ta remarque est tout à ait justifiée. Ceci dit rien n'empêche de donner la parole à une femme, même si elle ne fait pas partie de l'équipe, et de prendre en compte l'intégralité de son reportage, à la premire personne. Histoire de ne pas faire un biais "par défaut" Bretagne
  13. Bonjour, Merci de vos commentaires, ils m'aident à préciser mon propos. Je vais tenter de faire une réponse groupée aux commentaires reçus. L'aspect "cela a toujours été comme ça" (dixit Homeland) et donc cela défini ce qui est normal. C'est oublier que en 1000 ans certains changements dans la pensée, la conception, de, d'une société sont advenus. Poser comme concept "c'est comme cela, et donc il n'y a pas de raison que cela change" me semble aller à contre courant de l'histoire. L'idée de modernité, l'idée de machinisme (les voitures ne sont que cela) n'est pas dispensée d'être questionnée quant à ce qu'elle apporte comme bénfices et inconvénients aux jours d'aujourd'hui. La technologie (en général) le progrès sont des outils de pouvoirs, donc il est nécessaire de les mettre en question. Ce n'est pas à eux de dicter la "bonne" ligne à suivre, de dire quelle est la "vraie vie". Justement "la vraie vie, celle dont on rêve" consiste-t-elle à admettre que les discrimintations (riches/pauvres) sont normales, et que même elles valident l'idée que l'on est dans la "vraie vie" ? Certains sont attirés par la puissance (dixit zadene), certes, cela se confirme de jour en jour, peut on pour autant s'en réjouir ? Si cela résolvait les problèmes (restons par chez nous) de précarité, de partage, de mieux vivre.... Cela serait fantastique. C'est le cas ? Je sais, il s'agissait de puissance en chevaux ou Kw. Pardonnez moi, j'ai l'esprit d'escalier. Si je suis cette proposition (donner envie de passer à l'lectrique) qu'est ce que cela change ? Obtenir de la puissance électrique est-il sans influence sur l'environnement et les ressources ? Je demande à voir (là aussi je renvoie à J.M. Jancovici). Autre aspect : l'électrique doit se mesurer au thermique et faire ses preuves sur le même terrain des performances (distance, durée du plein...). Poser la question ainsi c'est dire : "rien ne doit changer dans nos habitudes", le modèle de la voiture des années 1980/2020 est le bon, c'est le modèle étalon, donc il doit durer et l'électrique doit faire pareil, voire mieux. C'est bien cela ? Mais à quel prix ? Il semble, tout du moins dans les discours, qu'il faille sortir du modèle consumériste. Nous sommes aujourd'hui dans une "société de consommation", ce modèle a-t-il fait ses preuves à l'aune du temps ? Il apparaît que les constats de la dégradation planétaire sont avérés. Pour finir, rien sur la partie féminine de mes interrogations. Idiotie de ma part, cela n'a rienà faire dans des histoires de bagnoles.C'est vrai ça, à quoi bon s'interroger sur un rapport homme/femme qui date de plus de mille ans ? Bretagne
  14. Bonjour, je suis toujours étonné de la place qui est faite aux véhicules électriques ultra puissants dans la rubrique actualité. Certes, il est aussi question de véhicules plus modestes. Mais, vouloir englober l'activité de "l'électrique", qu'il soit abordable, utile ou superflu (au vu des perspectives environnementales), parler de tout ce qui se fait ou se prépare sans prendre position sur le rôle, la place de l'automobile, c'est laisser libre court à ce que l'industrie automobile a pu engendrer comme objets inaccessibles et sans intérêt pour la vie de tous les jours de tout un chacun, chacune. Or, pour les temps futurs c'est pourtant de cela qu'il s'agit : comment vivre avec la voiture comme outil de transport. Il serait temps de s'intéresser à ce que JM Jancovici et le shift project annoncent et proposent. De plus j'ai beau chercher, je ne vois pas de femmes parmis les journalistes. L'électrique serait encore un truc de mecs ? La voiture et sa technologie un truc de mecs ? Bretagne


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