Ju400

Bonsoir, ravie de lire vos suggestions. Ayant déjà reçu des remarques sur la longueur du questionnaire, il serait difficile d'intégrer toutes ces variables. Étudier ce phénomène requiert bien plus d'une recherche. Il s'agit ici d'apporter une petite pierre à l'édifice. Quant au coupage de données, des modèles établis en permettent une collection et analyse représentative de la plupart de ces groupes dont les ignorants et passionnés sont les extrêmes. Merci pour votre soutien.

Bonsoir, bien entendu. Je ne compte pas recueillir uniquement des réponses provenant du groupe pro-EVs, mais rechercher des différences entre ce groupe et un groupe plus large de non convaincus requiert aussi la collection de données de ce premier groupe. En dehors de ce réseau, les réponses récoltées sont d'ailleurs majoritairement non-EVs. Merci de votre soutien.

Bonsoir, merci pour votre contribution. Je n'hésiterai pas à partager les conclusions obtenues si satisfaisantes. Je comprends votre point de vue : les recherches académiques peuvent faire peur. Cependant, au-delà des recherches académiques, ce genre d'études a aussi des implications managériales ou institutionnelles. Si les vraies causes d'un "problème" sont identifiées, elles sont plus facilement traitées. Enfin, les questions introductives permettent d'interpréter les réponses en conséquence, et ce sont davantage les perceptions et connaissances que les individus ont des VEs qui influencent leurs attitudes et intentions d'achat. Vous comme beaucoup de personnes sur ce forum avez une bonne connaissance de ces véhicules, notamment de leurs caractéristiques techniques et performance, et raisonnez en conséquence. Merci encore pour votre commentaire.

Bonjour, merci pour votre remarque. Ce questionnaire est d'ordre académique et donc peu intéractif, j'en suis consciente. Les réponses amènent seulement à un codage permettant de les tester statistiquement. Les questions visent à découvrir des déterminants plus enfouis de l'adoption d'un VE et sont basées sur des recherches académiques réalisées auparavant, qui ont montré des résultats satisfaisants. Ces variables étant plus ou moins évidentes, les questions semblent anodines mais une fois traitées en révèlent davantage. Enfin, ce même questionnaire s'adresse à tous, propriétaires, connaisseurs et/ou passionnés de VEs ou non. Les différences entre chaque groupe sont l'intérêt de cette étude. Le questionnaire est un peu long cependant, j'en conviens, et je ne conteste pas votre connaissance des VEs. Il s'agit seulement d'un élément à prendre en compte dans l'analyse. Merci encore pour votre contribution.

Bonjour, Ju400. Je vis en Norvège, pays de la voiture électrique. Je ne possède pas encore de VE mais compte bien en acquérir un dès que possible.

--------- Merci d'avoir participé --------- Bonjour à toutes et à tous. C'est depuis que je vis en Norvège, et plus précisément à Oslo où les véhicules électriques sont omniprésents, que cette question occupe mon esprit. En effet, en Norvège, près de la moitié des voitures neufs vendus en 2018 étaient électriques. À l'Est comme à l'Ouest, il n'est pas un trajet sans croiser 1... 10... 15 voitures électriques, voire plus. Il s'agit évidemment d'un cas exceptionnel dans le monde puisque la Norvège est de loin le leader en terme d'adoption des véhicules électriques, où ceux-ci s'accaparent une grande partie des parts de marché. Mais quand de retour en France je demande si le nom de "Tesla" semble familier, la réponse est bien souvent négative. Acceptation ou résistance, c’est ce que cherche à découvrir dans le cadre de mon mémoire. Je vous remercie d'y avoir contribué.